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Mountain information

Information sur la montagne

En plus de ses plaines atlantiques et de ses larges plateaux littoraux, le Maroc possède quatre massifs montagneux qui forment un diadème incomparable de hautes terres, bordé de plateaux et de plaines fertiles très peuplées , donnant au pays une grande variété de reliefs et de différences climatiques.

Le Rif : C’est un prolongement géologique de la Chaîne Bétique au Sud de la Méditerranée qui occupe la partie la plus septentrionale du pays. Succession de massifs parallèles en forme de croissant , il surplombe la Méditerranée, s’étendant sur 250 km du Détroit de Gibraltar au cap des Trois Fourches et culminant à 2500 m au Jebel Tidiquin. Son relief est très marqué par l’enfoncement des vallées, ce qui a rendu sa pénétration difficile jusqu’à nos jours. Il est traversé par seulement deux routes modernes. A l’ouest, la dorsale calcaire forme une véritable barrière également arquée , du Jebel Mousa près de Sebta à la pointe des Pêcheurs constituant l’arrière pays des plages magnifiques de la côte méditerranéenne. C’est cette chaîne montagneuse qui assure à la région Nord son climat méditerranéen, caractérisé par de nombreuses pluies tout au long de l’année et par une nature verdoyante qui s’étend jusqu’au bassin de Sebou, principale voie de communication entre le Maroc du Nord et le Maroc du Sud .

L'Atlas : C’est le nom qui désigne la principale chaîne montagneuse du Maroc et la plus haute d ’ Afrique du Nord. . Elle s’étend du Nord au Sud comme une véritable frontière naturelle entre le climat tempéré des plaines atlantiques à l’Ouest ( de Tanger à Agadir) et le climat désertique de l’Est et du Sud. La chaîne Atlas tire son nom du Titan de la mythologie grecque, condamné par Zeus à soutenir la voûte céleste sur ses épaules après avoir participé à des révoltes contre les dieux. C’est aussi le Deren », la « Montagne des montagnes » des Phéniciens et des Grecs, l’une des plus grandes montagnes du monde, après l’Himalaya, les Rocheuses, les Andes et les Alpes. L’Atlas est divisé en trois parties distinctes :

  • Le Moyen Atlas :

Souvent comparé au Jura, par la présence d’une zone tabulaire adossée à une zone plissée, c’est une chaîne calcaire qui commence au nord du pays, peu après le Rif, dominant la plaine de la Moulouya à l’est, et précédée à l’ouest par de hauts plateaux. Son point culminant est le Bou Nacer à 3354 m. C’est un pays de végétation très variée, allant de la forêt profonde (le plateau des cèdres : Ifrane, Mischliffen) aux plateaux causse dénudés par les vents (le paysage d’Ito) et aussi de lacs temporaires ou permanentes qui se forment dans de légères dépressions Avec toute sa variété de paysages tous aussi grandioses les uns que les autres, le Moyen Atlas est une région des plus agréables du Maroc , plus riches quant à leur histoire et leurs cultures.


  • Le Haut Atlas :

Au centre, cette chaîne de type jurassien qui s’étend sur 800 m du lac de Bin-el-Ouidane sur l’oued Turquoise à l’ouest et jusqu’à Midelt à l’est, est une arrête quasi rectiligne , une espèce de muraille entre deux mondes : celui de l’herbe et de la vigne , celui du caillou et du sel, avec plusieurs sommets de plus de 3500

comme le Toubkal. (4167 m) qui est le plus élevé du Maghreb., M’Goun (4071m) et Jbel Ayachi (3737 m). L’activité pastorale , importante dans la partie orientale de la

chaîne contraste avec l’agriculture, à l’ouest du Tizi-n-Tichcka qui exploite la moindre parcelle de terrain utilisable pour les champs ou les vergers.

  • L’Anti-Atlas :

C’est une montagne aride à la limite du désert , formée de massifs anciens de nature granitique qui ne dépassent pas 2380 m, bordée au sud par la vallée du Dra.. Son point culminant le Jebel Aklim (2531 m ) vient s’appuyer au Haut –Atlas par le massif volcanique du Siroua (3304 m ) et se prolonge au-delà de la vallée du Dra par le sauvage massif du Sarho et l’Ougnate. Cette chaîne de l’extrême Sud a le mérite de protéger le Souss, cuvette très fertile, des vents desséchants du désert .Sur les contreforts de l’Anti-Atlas et du Haut Atlas, on trouve de nombreux arganiers, arbres dont l’apparence rappelle celle de l’olivier et dont on extrait une huile orangée et parfumée. Les arganiers du Souss, à proximité de Marrakech sont aussi célèbres pour l’huile qu’ils produisent que pour le spectacle qu’ils offrent : les chèvres montent sur les arbres pour y brouter les feuilles.

  • L’aspect physique :

de ces chaînes montagneuses est très divers. Les ressources de la haute montagne son inépuisables, cas par exemple, du ski et les nombreuses promenades. Les environs de Fès dans le Moyen Atlas sont un paradis pour les amateurs de sport d’hiver ( le Michlifen) ; aux environs de Marrakech, Oukaïmeden est la station vedette du Haut Atlas, où l’on peut faire du ski de décembres à avril.. C’est le point de départ de mille et une excursions vers la profondeur du Haut Atlas, à pied, à ski, à dos de mulet ,en kayak ! , tous les moyens son possibles pour découvrir ce monde de belles vallées, de petits villages accrochées aux gorges sauvages , de fleuves et de. loisirs dans cette nature exubérante et vierge !

Entre ces chaînes de montagnes, s’étendent de vastes plaines et des plateaux. Entre le Rif et le Haut Atlas, nous trouvons le Maroc atlantique, une région très riche où la végétation s’efface pour donner lieu aux cultures. Le Grhrab, avec ses riches terres noires ou « tirs « a été une des premières régions irriguées . Les plateaux des Zaër et de Zemmour (Rabat –Khémisset)et la plaine du Saïs (Fes-Mèknes) aux terres rouges, se prêtent aux grandes cultures céréalières ainsi qu’au plantations de vignes, agrumes et d’oliviers. Au centre de ce Maroc atlantique, le plateau des phosphates ,et celui de Tadla, autrefois aride ont vu naître les cultures les plus variées grâce au barrage de Bin-el-Ouidane . Au Sud de l’Atlas qui retient les pluies océaniques, c’est le Maroc aride, le Maroc des palmeraies et des oasis, qui touche au désert. Entre le Haut Atlas et ‘l’Anti-Atlas, cependant, la plaine du Souss, avec son climat doux, permet la production des primeurs et de agrumes irriguais par la nappe phréatique. Le barrage sur l’oeud Massa, rend fertile une très vaste zone qui était improductive, à l’embouchure de ce fleuve.

  • Haut Atlas Occidental :

Appelé aussi Haut Atlas de Marrakech, est un domaine montagneux situé dans la partie occidentale de la chaîne. Il occupe une zone rectiligne d’une centaine de km limitée à l’Est par le couloir Assif Rdat- Assif Imini ou par la route de Marrakech à Ouarzazate passant par le Tizi-n-Tichka (RP 31), à l’Ouest par le couloir de l’oued Nfiss ou la route de Marrakech à Taroudant par le Tizi-n-Test (S 501. Ce vaste domaine orienté SW-NE suivant l’axe de l’Atlas marocain est découpé au Nord en versant atlantique par de grandes vallées transversales dont les oueds Ghdat, Zat, Ourika , Ghrïaia et Nfiss sont des affluents de l’Oued Tensift. Au Sud seul le Tinfou, qui prend sa source au pied du Toubkal, forme un profond bassin en versant saharien .Etant une montagne tertiaire, ses compartiments se distinguent parfaitement depuis la plaine : dans le piémont, les collines et plateaux calcaires du Crétacé, puis les hauts plateaux gréseux du Permo-Trias et finalement la haute chaîne constituée de granites et de laves du Précambrien.

Etre à Marrakech, c’est être dans la capitale du Haouz , belle plaine aux contreforts du Haut Atlas. On ne pourrait pas résister à la curiosité de savoir ce qu’il y a derrière ce formidable écran de montagnes qui constitue le toile de fond de la ville , du sud et à l’est. Donc, suivons notre désire de découverte de ces paysages pleins de beauté, de pureté et de silence.

  • A Decouvrir :

* Sur la route du Tizi-n-Tichka

La vallée d’Ourika : L ‘ une des plus belles vallées aux alentours de Marrakech, vers le sud en traversant la plaine du Haouz, sur 32 km. Arrivée à Aghmat.,où restent quelques témoignages du brillant passé urbain de cette ancienne ville, la plus grande du Sud au Maroc, avant la fondation de Marrakech et qui fut détruite par les Almoravides.

3 km plus au sud, une piste mène au Dar Caïd Ouriki, où l’on pourra visiter chaque lundi le souk le plus animé de la région. Tout de suite après, la route évolue au milieu des frondaisons et des vergers au fond d’une vallée , chaque fois plus étroite et plus sauvage (Arhbalou). A droite on trouvera la route vers l ’ Oukaïdem, célèbre station de ski . La région de la Vallée d’Ourika est très peuplée. De nombreux petits villages aux maisons en pisé s’accrochent aux flancs de la montagne, en formant des étages entre elles. Les cultures en terrasses vont jusqu’ au bord de la rivière, d’eau très claire. La végétation abondante et la verdure profonde du paysage offrent un merveilleux contraste avec la couleur de rocailles . On continuera, jusqu’à Sti Fadma. Vue très belle sur la vallée, dominée par le massif de l’Angour. On pourra continuer vers les cascades, à dos de mulet ou à pied. De petits cafés et de beaux restaurants sur la route vous inviteront à faire une pause et à contempler les magnifiques paysages qui s’offrent à vos yeux. Possibilité de se procurer de la jolie céramique , des tapis ou des pierres de la région .

La vallée de l’Ourika est le point de départ de très belles randonnées pédestres dans les vallées adjacentes, vers le plateau de Timenkar et le plateau de Yagour, où sont recensées de milliers de gravures rupestres représentant des armes, des chars, des animaux ainsi que des figures humaines.

* Sur la route du Tizi-n-Test

Vallée de l’oued Gheghaïa: En quittant Marrakech par la route de Taroudant , on traversera la plaine du Haouz pour arriver au village de Tahanaoute, accroché à près de 1OOO mètres d’altitude (souk très pittoresque le samedi) . Vous serez surpris par la diversité du paysage des montagnes : boisées, pelées et presque d’un aspect lunaire . D’autres sur l’horizon , plus hautes , enneigées. Les tons et les couleurs sont divers : grès noir, roches rouges, sable clair, autour d’une vallée verdoyante. Les petits skour ou douars s’accrochent aux montagnes ou se logent dans le lit de l’oued Gheghaïa, toujours présent en contrebas.

On prendra à droite la route qui mène vers les Gorges de Moulay Brahim, creusées par l’oued qui irrigue une belle vallée longitudinale cultivée et plantée d’oliviers. On apercevra de loin le piton rocheux sur lequel se trouve la Zaouia de Moulay Brahim, où se tient un célèbre moussem chaque année, au moment du Mouloud. Retour sur la route principale et arrivée au petit village d’Asni à 1150 m d’altitude, au centre du cirque de Tamarout, joli site dans la vallée verdoyante et riche , couverte d’oliviers, et dominée par le Jebel Aksoual et le Jebel Toubkal, point culminant des montagnes d’Afrique du Nord . A gauche, route vers Imlil (17 km, situé en bordure du Parc National du Toubkal et point de départ de nombreuses randonnées dans le Haut Atlas) . On suivra la route pour arriver à Ouirgane, accroché au flanc de la vallée, dans une verdure extraordinaire .Hameau près de salines et agréable station climatique : étape gastronomique recommandée : devant nos yeux « la Roseraie », très beau restaurant et petit hôtel charmant , avec belle piscine au centre. En peu plus devant, le restaurant « le Sanglier qui fume », où l’on peut s’offrir un on repas, en plus, des beautés architecturales naturelles. On peut faire aussi une promenade à cheval, à dos de mulet ou entamer des excursions pédestres accompagnées de guide .

La vallée de Nfis : 40 km plus loin, la vallée de Nfis vit naître et mourir, la dynastie almohade autour du village de Tinmel. Toute proche, la kasba Tagoudantft ( construite au XIX siècle) est, sur son piton de 100 m , on la verra comme une sentinelle surveillant la vallée.

  • Haut Atlas Central :

Le Tizi-n-Tichka ( col de pâturages), sépare le Haut-Atlas occidental des sédentaires chleuh ( tribu berbère) (comprenant le plus haut sommet, le Jebel Toubkal, 4165 m) du Haut Atlas Central, domaine de la vie pastorale, avec ses haut pâturages, plateau coupés d’impressionnants défilés comme celui de l’Assif M’goun dominé par un sommet de 4071 m l’Irhil-M’goun, ceux du Dadès, du Tohdra et du Ziz, tous débouchant vers le sud, ceux de la Tessaoute et de l’Ahensal vers le nord. Les cultures se développent au fond de l’oued avec des vergers dans les plus étalés. De merveilleuses randonnées sont organisées à travers ces fabuleux paysages de montagne. Randonneurs, guides, mulets , muletiers, gîtes et bivouac, seront les protagonistes principales de cette aventure à travers l’une des imposantes chaînes de l’Atlas.

  • A Decouvrir :

Plaine de Tessaoute : Belle plaine de 30000 ha de terre, irriguée par le grand barrage en terre d’Aïd Aadel., de plus de 200 millions de mètres cubes d’eau, construit à la fin des années 1960 sur l’oued Tessaoute. A ses pieds, le petit village agricole de Timinoutine. Paysage majestueux de nature verdoyante et des rives tapissées de lauriers roses au fur et à mesure que l’on s’approche du barrage. Les cours de l’oued Tessaoute, qui prend sa source à deux différents endroits du Haut Atlas, se rejoignent entre Demnate et El-Kelaa. Splendide vues des espaces de transhumance.

M’goun: A l’est de Marrakech s’étend le massif grandiose du M’Goun, culminant à 4000 m et offrant des vallées profondes et de gorges étroites. Le bassin versant d’Assif M’goun est une zone montagneuse ouverte aux influences sahariennes qui occupe une superficie d’environ 1250 km2, entre les sommets du Haut-Atlas central calcaire et les bordures nord du Jbel Saghro . Vallée de grande beauté de paysages, bien pourvue en eau malgré la rareté de pluies, grâce à la fonte des neiges du printemps, les orages d’été et d’automne et les effets régulateurs du substratum calcaire. La vie humaine y se concentre dans un chapelet d’oasis irriguées, surplombées par de très belles kasbahs d’éleveurs semi-nomades dans la haute et moyenne vallée, et de cultivateurs sédentaires dans la basse vallée .

Excellentes possibilités pour la pratique du trekking , des randonnées très intéressantes pour faire la découverte des sites, des villages, pour avoir de contacts avec les habitants de la montagne. Les refuges sont encore peu nombreux . L’accès st réglementé durant la période de ski . Dans ses nombreux et magnifiques villages, on trouvera des accompagnateurs , des porteurs et des mulets. Le dépaysement est le plaisir seront uniques !

Vallée d’Aït Bouguemez : Par Azilal ,28 km après Aït Mehamed, la piste se sépare en deux. A droite, c’est la descente vers la splendide et unique Vallée des Aït Bouguemez, la plus belle des vallées du Haut Atlas, dominée par le Tizin’Tirhist (2640m) et au milieu d’un gigantesque amas de rocailles grises rehaussées de longues traînées blanches de neige . Cette vallée est une accumulation de jardins, de cultures, de noyers, de peupliers au bord de l’eau, de kasbas, une oasis froide dans un chaos de roches désertiques. De paysages époustouflantes avec le Jebel Azourki, le lac Izourar et une série d’ighrem jusqu’au Agouti à vous couper le souffle

Vallée de l’Assif Melloul : Au milieu d’un paysage de rocaille stérile, entre 2000 et 3000 m d’altitude, une jolie rivière aux eaux claires s’insinue dans le relief et serpente au milieu des terrains qu’elle-même a formé avec ses crues. Elle les irrigue et tout l’espace de sol labouré est découpé en terrasses parfaitement planes aux cultures très soignées. On peut percevoir l’esprit méticuleux des Sahariens. Mais ces terres sont cultivées par les Aït Hadiddou, ces anciens nomades qui après avoir assujetti les tribus d’oasis ont assimilé leurs techniques. Rocaille, terre et kasbas baignées donnent une belle couleur jaunâtre au coucher du soleil. Des paysages magnifiques à ne jamais oublier !

Vallée et Zaouïa d’Ahanesal : Spectacle magnifique à travers la forêt des pins d’Alep sous les crêtes du Tizi N’Ilissi Zaouïa d’Ahensal . Gîte d’étape et point de départ de circuits à travers le majestueux M’goun ou de courtes randonnées pour découvrir la beauté surprenante de cette vallée .

  • Haut Atlas Oriental :

Région qui se caractérise. par un paysage quelques fois désolé, et la présence de pasteurs semi-nomades qui transhument entre ces plateaux et le piémont présaharien. La longue chaîne de l’Ayachi, (3737 m), le sommet le plus élevé du nord-est du Haut Atlas, se dresse vers le nord ; plus à l’est, le Moyen Atlas se détache du Haut Atlas et fait transition entre le Maroc septentrional humide et les steppes présahariennes. Au-delà de ce col, la route rencontre une série de petites chaînes du Grand Atlas, séparées entre elles par d’amples dépressions. On aperçoit des steppes d’alfa dans ces parties creuses et sur les reliefs, des amas de roches dépouillés . Pays grandiose, triste, silencieux, oublié, mais aux admirables lointains bleutés. Toute la région montagnarde se trouve peuplée de Aït Yahia, anciens sahariens de langue tamazight, ainsi comme des Aït Hadiddou et Aït Izdeg . Les villages se composent de maisons aux murs épais, se serrant les uns contre les autres et s’entourant souvent de murailles : c’est le ksar. Parmi les plus beaux villages de cette région : Assaka , blotti dans un site majestueux.

  • A Découvrir :

Imilchil : Magnifique panorama dans la descente le long du lac Tislit. En partant de Ksiba, on franchira les gorges de l’oued El Abid et les cols de Tizi N’Islys, pour redescendre vers Imilchil par le plateau des lacs (Isli et Tislit : les fiancés). Le village habité par les Aït Hadiddou, est célèbre par son moussem qui a lieu en septembre, appelé « Moussem des fiancés », au cours duquel les jeunes gens se marient, en choisissant eux-mêmes leurs partenaires, suivant la tradition de la région. Imilchil devra devenir le siège du parc national du Haut Atlas Oriental actuellement en projet.(Ce parc serait situé dans la région du Jebel Aberdouz (3057 m)

Possibilité de faire un circuit, de préférence avec un guide, pour , au sud-est, la belle palmeraie et rejoindre El-Hart, pittoresque village d’artisans où la poterie est fabriquée selon les techniques ancestrales.

Midelt : Après le Tizi-n-Talrhemt (le « col de la chamelle », on arrive à Midelt, petite installée à 1500 m d’altitude , au pied du Jebel Ayachi dont le sommet est couvert de neige une bonne partie de l’année . Etape entre le Moyen Atlas et le Haut Atlas sur la route du Sud Marocain, la ville vit des tapis et de l’exploitation intensive des vergers plantés de pruniers et surtout de pommiers. Un important moussem, la fête des pommes a lieu au mois d’octobre. En sortant de Midelt, il faudrait visiter la kasba Meryem, l’atelier de sœurs franciscaines, où l’on pourrait admirer et se procurer des broderies, des tapisseriez et des couvertures berbères d’excellente qualité.

  • Excursions à partir de Midelt :

Jebel Ayachi : Possibilité d’escalader ce haut massif au départ de Tattiouine à 14 km au sud de Midelt, où l’on trouve sans difficulté des guides et des mulets. Ce haut massif comporte de nombreux pâturages vers lesquels les troupeaux convergent , soit en estivage, soit en véritable transhumance.

Le cirque de Jaffar : Au nord du massif, à 2100 m d’altitude. , à 24 km de Midelt. Panorama superbe sur le Jebel Ayachi. Avant d ’ y arriver trajet très beau au milieu des chênes verts, des thuyas et des cèdres. Le houx pousse aussi dans la région .

Les dunes de Mibladen et d’Aouil : Au nord-est de Midelt par la S317 et une piste (10 km et 25 km), situées dans une ancienne région d’exploitation de plomb argentifère. En route, on apercevra les gorges d’Aouil creusées par l’oued Moulouya et une partie de la belle vallée de steppes parsemées de buissons de rtem ( genêt filamenteux à fleures blanches (au printemps)